Selon une récente déclaration de la part d’un expert en intelligence artificielle, l’IA générative n’aura besoin que de deux centrales électriques pour maintenir ses applications en 2024. Cette affirmation crédible a été faite lors d’un discours au Digital Workers Forum, une conférence de premier plan sur le numérique. Selon cet expert, l’énergie nucléaire serait suffisante pour répondre aux besoins énergétiques de l’IA génératrice.
Cette affirmation soulève des questions importantes quant aux besoins en énergie de l’intelligence artificielle. En effet, l’essor de l’IA générative est inévitable à ce stade, mais sa consommation d’énergie est un problème majeur qui doit être résolu au plus vite. Cependant, cette déclaration optimiste laisse entendre que l’industrie pourrait se développer sans impacter significativement les ressources énergétiques mondiales.
Il est important de noter que l’expert en question faisait référence à la quantité d’énergie nécessaire à l’inférence, c’est-à-dire le processus par lequel l’IA peut être utilisée dans une application pour répondre aux questions et fournir des recommandations basées sur les demandes des utilisateurs. Sur la base des calculs approximatifs effectués, il a estimé que deux nouvelles centrales nucléaires pourraient suffire à couvrir ces besoins pour un an d’utilisation de l’IA.
Il sera intéressant de voir comment cette affirmation influencera les efforts pour réguler la consommation d’énergie de l’intelligence artificielle. Les récentes études sur ce sujet ont soulevé des préoccupations quant à la croissance exponentielle des besoins énergétiques des outils d’IA. Il est manifeste que l’industrie de l’intelligence artificielle doit trouver des solutions durables pour répondre à ces besoins, afin de garantir son développement futur.
En définitive, cette déclaration soulève des questions importantes autour de la consommation d’énergie de l’IA générative et met l’accent sur la nécessité de trouver des solutions durables pour soutenir le développement de ce secteur en pleine expansion.