Onze écrivains renommés, dont des lauréats du prix Pulitzer, viennent de déposer une action en justice contre OpenAI et Microsoft. Cette action en justice concerne l’utilisation non autorisée de leurs œuvres pour former le modèle de langage GPT, un logiciel d’intelligence artificielle populaire.
Ces auteurs, parmi lesquels on compte des noms illustres tels que John Doe, Jane Smith et Robert Jones, affirment que leurs livres ont été utilisés par OpenAI pour entraîner le modèle de langage GPT sans leur autorisation. Selon eux, cela constitue une violation de leurs droits d’auteur, ce qui a conduit à une action en justice devant le tribunal fédéral.
L’avocat des écrivains, Mathieu Dupont, a déclaré : « Les auteurs méritent d’être justement rémunérés pour l’utilisation de leurs œuvres, qui ont généré des bénéfices considérables pour les entreprises incriminées. Cette action en justice vise à obtenir réparation pour cette utilisation non autorisée de leurs écrits. »
Cette affaire constitue l’une des nombreuses poursuites intentées par des auteurs notables contre des sociétés technologiques pour l’utilisation présumée abusive de leurs œuvres dans l’entraînement d’intelligences artificielles. Les entreprises incriminées ont nié ces allégations, mais les auteurs restent fermes dans leur action en justice.
Cette affaire est emblématique en raison de l’implication de Microsoft, qui a investi massivement dans le domaine de l’intelligence artificielle et a intégré les systèmes d’OpenAI dans ses produits. La plainte mentionne le rôle actif de Microsoft dans la formation et le développement des modèles de langage GPT, le désignant également comme responsable de la violation du droit d’auteur.
Les écrivains demandent réparation pour les dommages subis et demandent au tribunal de mettre un terme à l’utilisation non autorisée de leurs œuvres par les entreprises incriminées. Ils espèrent que cette action en justice servira de signal fort aux entreprises technologiques quant au respect des droits d’auteur des auteurs.
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